Par l’Autoroute A4 :
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EN BUS : LIGNE 61B – |
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Du vieil allemand gehan, « avouer sous la contrainte », du latin gellinis, « tourment » ou du vieux français géhie, « confession sous la torture » et du latin villa.
La première mention écrite du village apparaît en 1005. La légende fait état du passage de sainte Geneviève au village. La seigneurie appartenait en 1148 à l’abbaye royale de Notre-Dame-aux-Nonnains de Soissons (le titre d’abbesse de Soissons étant fort recherché, furent ainsi abbesses de Soissons une sœur de Charlemagne, une fille de Charles le Chauve, et une petite fille de Louis le Gros). Le couvent accroît ses possessions au fil des siècles et au XIVe siècle, le domaine de l’abbaye est considérable. Il comprend un important matériel agricole dans ses deux fermes et de nombreuses rentes seigneuriales. Les dames de Soissons jouissent par ailleurs de droits tels que la moyenne et basse justice, celle-ci étant déléguée à son fermier, tenu de l’exercer en échange du revenu des amendes, les deux tiers des grosses dîmes de toute la paroisse, les taxes sur les héritages et un droit de chasse sur la seigneurie. En 1797, des brigands appelés les chauffeurs de Jaignes, au nombre d’une douzaine environ, sévissent en brûlant les pieds de leurs victimes, des habitants de Torchamp notamment, dans leur cheminée afin de leur faire dire où trouver leur argent. Après avoir semé la terreur dans la région de Meaux, ils sont arrêtés au terme d’une longue enquête et certains d’entre eux décapités à Melun. Les hameaux de Grandchamp, Torchamp et Givres sont réunis à la commune en 1835. Au début du XXe siècle, l’activité du village est essentiellement agricole.
Entrée du Village Route de Changis
Ferme de la Place
Grande Rue
Rue et Place de l’Eglise
L’église romane est restaurée au XVIe siècle. L’abside et le chœur de l’église sont de style gothique, élevés probablement au XVe siècle. La nef, longée par un bas-côté unique, s’achève en rond-point. La première pierre du clocher a été posée en 1633, jour de la translation de saint Nicolas. Les trois cloches de l’église sont fondues et baptisées le 14 avril 1633. En 1793, deux des trois cloches sont conduites à Meaux. L’édifice abrite une sculpture de style renaissant en bois de chêne servant de tabernacle au maître-autel, provenant du prieuré de Grandchamp, et un autel de la Vierge dans le même style provenant de l’ancienne église de Villers-lès-Rigault.
Ce vitrail est un don du Curé de l’époque aux habitants. Il représente Sainte-Geneviève accompagnée d’un mouton, tenant un bâton de marche. Sainte Geneviève est la patronne de Paris (422-512). D’origine paysanne, remarquée par l’évêque saint Germain d’Auxerre, elle entre en religion et exhorte les parisiens à résister à Attila, chef des Huns traversa le village en suivant la Marne alors qu’elle allait en Champagne chercher du blé pour les Parisiens. Cette histoire serait à l’origine du pèlerinage qui attirait encore à la fin du XIXe siècle une affluence considérable chaque 3 janvier.
Situé en bordure de route, ce puits communal, desservait plusieurs habitations avant l’installation des adductions d’eau au XXe siècle. La voûte maçonnée de forme conique qui l’enferme dénote une architecture typiquement briarde.
Cette pierre tombale provient de l’ancienne abbaye de Grandchamp. Lévite Richard, né à Dijon et mort le quatorzième jour des calendes d’octobre, était le neveu du prieur. La pierre tombale représente un moine, et son pourtour est gravé d’inscriptions en latin.
Cette pierre tombale à l’effigie de Pierre Moneau, sous-prieur, mort le 7 janvier 1620 et de Jehan Guygner, sacristain, mort le 29 juin 1633, provient elle aussi de l’abbaye de Grandchamp.
Ce polissoir est situé au pied de l’église, posé au pied d’une des façades, la face intérieure contre le mur. C’est une très grande pierre utilisée à la préhistoire pour polir des outils en pierre par frottement. Il a été découvert à la suite des travaux réalisés lors du transfert du cimetière en 1865.
Située en face de ce qui était autrefois l’abbaye de Grandchamp, fondée au début du XIIe siècle et dépendant du Collège de Cluny, cette croix, tronquée il y a quelques années, repose sur un socle et un fût de pierres. C’est la plus ancienne croix du canton.
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